France Paris UK Dernière MAJ 2025

Sous-location légale — tout ce qu’il faut savoir

Objectif : sécuriser juridiquement, fiscalement et opérationnellement toute sous-location (logement, courte durée, commerce) avec des liens officiels et des checklists actionnables.

Autorisation écrite Plafond de loyer Enregistrement Paris Baux commerciaux Assurances Sanctions

Résumé express (points clés)

Liens officiels — France

Règles essentielles — France

Paris — obligations locales

Baux commerciaux — points clés

Sanctions & jurisprudence

Checklist propriétaire — 12 actions

  1. Identifier le régime applicable (loi 1989 vs commercial) et relire les clauses de sous‑location du bail.[2][6]
  2. Exiger une demande écrite détaillant durée, partie sous‑louée, loyer, identité du sous‑locataire.[1]
  3. Délivrer une autorisation écrite incluant l’accord sur le montant du loyer de sous‑location.[2]
  4. Transmettre et exiger la transmission au sous‑locataire de la copie du bail + autorisation.[2][1]
  5. Contrôler le plafond : loyer au m² de sous‑location ≤ loyer principal au m².[2]
  6. Pour Paris : vérifier enregistrement, changement d’usage/compensation, conformité copropriété post 21/11/2024.[4][3]
  7. Adapter les assurances (PNO) et demander attestation RC locataire/sous‑locataire.[1]
  8. Prévoir clauses de visite, respect voisinage, et cessation immédiate en cas d’illégalité.[3][1]
  9. Encadrer la fiscalité des revenus (meublés) et suivre les changements 2025‑2026.[5]
  10. Tracer un registre des autorisations et périodes de sous‑location.[1]
  11. En commercial : suivre L145‑31/32 et, en cas de surloyer de sous‑location, ajustement corrélatif possible.[12][6]
  12. Surveiller la jurisprudence locale et les guides municipaux mis à jour (Paris).[11][3]

Modèles & ressources pratiques

Royaume‑Uni — repères rapides

Évolutions 2024–2026 à surveiller

Risques & mitigation

Liens complémentaires (vérifiés)